Changement de sujet?
En observant l'étude de floworks à l'Istia, on s'est apperçu qu'il serait finalement plus aisé de centré notre étude sur le décrochage, sa limite d'apparition et ses conséquences, plutôt que sur les perturbations dues à une potentielle aile ajoutée au nez de l'avion. D'une part parce que les turbulences sont un phénomène totalement imprévisible et donc cela réduit le champ d'étude des perturbation, d'autre part parce que le décrochage est une partie importante et intéressante de l'étude du vol d'un avion, et enfin parce que c'est facilement observable (et observé, aussi bien expériementalement qu'avec Floworks)